Je suis snob, blogue bouffe de Québec
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La snob vous sort au FEQ!

27/6/2013

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J'ai pas mal tout le temps faim, que ce soit de chips ou de culture. C'est pourquoi j'ai fait une danse de la joie (en prenant soin de déposer mes Ruffles pour pas en échapper partout) quand le Festival d'été de Québec m'a approchée afin d'organiser un tirage. Eille, depuis le temps que je rêvais de vous gâter, v'là le moment! Pis au lieu de vous faire tirer un assortiment de Kraft Dinner, je vous gâte en grand avec:

une paire de laissez-passer
pour le FEQ à gagner!

Vous vous demandez sûrement ce que festival de musique et blogue bouffe ont en commun. À première vue, rien pantoute. Mais sachez que je suis fana du FEQ depuis mon adolescence et que je m'amuse parfois à faire des accords bouffe-musique. Sachez aussi que j'adoooooooore dire à tout le monde sur les réseaux sociaux à quel show je suis et quelle est «ma» toune. C'est pourquoi j'ai été l'une des premières à personnaliser mon bracelet (acheté en prévente, tsé) et à l'associer à mon compte Facebook.

Une fois le festival lancé, vous me verrez sûrement courir après l'une des six bornes interactives pour dire «j'suis là, j'suis là!» à mes 345 amis Facebook. J'suis quelqu'un de docile, j'ai fait tout ce que la vidéo YouTube m'a dit de faire. (Heureusement que ce n'était pas le défi de la cannelle.) Je suis surtout passionnée: le FEQ, pour moi, c'est ce que l'été à Québec a de meilleur à offrir. Raison de plus de partager!
Alors, pour faire un vrai lien entre la musique et le menoum, je vous propose quelques comparaisons de mon cru. Vous aurez à vous en inspirer si vous voulez gagner votre paire!

Si les artistes du FEQ étaient des aliments...
  • Louis-Jean Cormier serait un sushi. Je déjeunerais avec.
  • Voivod, c'est simple: c'est de la tourtière. Pis pas du pâté à la viande!
  • Coeur de pirate, c'est de l'oursin: y'a plein de gens donc ben branchés qui aiment ça, mais je ne comprends pas le hype.
  • Wu-Tang Clan, ce sont des ramen à manger pas cuits, à même le sac, écrasés avec la tite poudre au boeuf: ben à la mode en 1995...
  • Les Trois Accords, c'est un Interburger (un hamburger avec un nionnenionnerigne dedans, rempli de fromage en crottes): c'est bizarre, mais irrésistible et bien de chez nous.
  • Weezer, c'est de l'orangeade. Je trippe là-dessus depuis un peu trop longtemps et je ne me tanne pas.
  • The Black Keys, ce sont des cakepops ou des whoopie pies. Ça pogne ben gros de c'temps-là.
  • Groenland, c'est comme de la bouffe de rue non identifiée en Thaïlande: je sais pas c'est quoi, mais je suis là pour goûter!
  • Guns N' Roses, ce sont des Doritos que tu retrouves dans le fond de ton garde-manger: au début, t'es content (yé, un snack!), et après tu te rends compte qu'ils sont éventés.

À votre tour, maintenant!
Règlement
L'inscription doit se faire à l'aide du formulaire ci-dessus avec toutes les informations demandées sur ce site du 27 juin au 2 juillet 2013 à minuit (heure de l'Est). Le tirage aura lieu le mercredi 3 juillet, la veille du début du festival.
Le Festival d'été de Québec sera chargé du tirage et communiquera directement avec le gagnant.
Pour récupérer sa paire de laissez-passer, le gagnant devra se présenter à l'endroit désigné par le Festival d'été. Aucune paire de laissez-passer ne sera envoyée par la poste.

Mise à jour

Oh! Le concours est terminé!

Mais j'ai eu ben du fun à lire les réponses à la question : «Si Def Leppard était un aliment, ce serait...» Y'a pas de doute, mes lecteurs sont des gens à la fois créatifs et dotés d'un humour assez douteux merci.
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Pappardelle aux champignons sauvages et au brie

26/6/2013

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Prête en 15 minutes chrono, cette recette est une excellente façon de passer des restants de brie ou de vin blanc (quand il en reste!). C’est aussi un repas parfait de jour de semaine, car la recette prend autant de temps, sinon moins, que d’attendre le livreur de pizza.
Pappardelle aux champignons

Ingrédients

Pour 4 portions

227 g (1 paquet) de pappardelle Delverde
227 g (1 barquette) de champignons sauvages frais
1 gousse d’ail
250 ml de vin blanc sec ou 125 ml de bouillon de légumes
250 ml de crème épaisse 15 %
150 g de brie double crème
10 ml de moutarde à l’ancienne
1 noix de beurre, pour la cuisson
Sel et poivre du moulin, au goût
Parmesan râpé, au goût

Préparation

Laver les champignons, les essorer et les couper en tranches. Hacher l’ail. Retirer la croûte du brie et couper le fromage en dés grossiers.

Dans une grande poêle, à feu moyen, faire revenir le beurre et l’ail. Ajouter les champignons. Faire cuire jusqu’à ce que les champignons aient rendu leur eau (environ 7 minutes).

Dans une casserole remplie d’eau bouillante salée, faire cuire les pappardelle selon les indications du fabricant.

Pendant que les pâtes cuisent, ajouter le vin blanc ou le bouillon de légumes au sauté de champignons et laisser réduire de moitié. Baisser le feu. Ajouter la crème, puis la moutarde (au goût). Ajouter le brie et remuer pour faire fondre. Saler et poivrer au goût.

Égoutter les pâtes.

Dans un bol, servir les pâtes nappées de sauce avec du parmesan râpé.

Cette recette a été créée à l'invitation de Delverde Canada dans le cadre de ses mercredis blogueurs pour le journal Metro. Merci pour les pâtes!
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Boire sa province jusqu'à la lie

24/6/2013

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Plusieurs d'entre vous cuvent peut-être leur grosse bière d'hier, encore dans l'allégresse d'un énième show de Paul Piché (cette figure de style s'appelle un oxymore), et j'espère qu'en cette journée de fête nationale, c'était au moins une bière du coin. Et quand je dis «coin», je ne parle pas du coin du frigo.

Le coup de gueule

Chaque 23 juin, on lève haut nos fleurdelisés, on crie «Bonne Saint-Jean» à tout le monde, même à notre voisine qu'on haït donc ben, on est donc fiers de dire qu'on vient du Québec. Mais 365 jours par année, on  boit de l'espagnol, de l'américain, du français, de l'italien, et de la bonne-cuvée-maison-faite-par-mon-beau-frère-qui-s'y-connaît-en-vin. Du québécois? Du local? Ouache, c'est certain qu'y'a pas de bon vin qui s'fait icitte, y fait ben trop frette. Passe-moé le Ménage à trois!
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Loin de moi l'idée de promouvoir le «boire local» sous le simple prétexte de la fierté nationale ou de «l'alcoolocentrisme» (attitude assez gossante caractérisée par une envie d'apprécier à la hausse tout ce qui est brassé ou vinifié ici, même de la Tremblay). Cependant, dire qu'il ne se fait ici rien qui puisse accoter le top 10 des piquettes les plus populaires, c'est dénigrer toute une industrie certes jeune, mais qui a beaucoup à offrir. 

J'ai été moi aussi une coincée du goulot provincial pendant longtemps, mais j'ai eu une sorte d'épiphanie pendant Tastecamp, un roadtrip vinicole rassemblant des blogueurs vins canadiens et américains (trouvez l'intruse...). C'était peut-être les vapeurs de mousseux de l'Orpailleur pendant que je sabrais la bouteille, aussi.

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Opération séduction au Café du monde

9/6/2013

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Café du monde
J'avais mis ma robe fleurie vieillotte, convaincue que ça me ferait passer incognito (interdiction de fredonner Céline sur ce blogue, ok?) parmi les hordes de baby-boomers en pause de golf, public cible du Café du monde dans ma tête de pré-trentenaire. Or, c'est moi qui avais presque l'air décalée dans le nouveau décor oh so branché que le café s'est payé l'an dernier. Au moins, j'ai pu me cacher derrière ma poutine géante et redécouvrir cette belle adresse en dehors des clichés de croisiéristes en bas beiges et sandales.
D'abord, parlons de la vue, car c'est toujours ce qui frappe au Café du monde. La verrière donne sur le fleuve (bon, d'accord, on a vue sur Lévis, mais c'est mieux que rien) et assis au rebord de la fenêtre, on se croirait en bateau (mal de mer en moins). Ce qui plaît ensuite, c'est ce qu'on a dans le verre, puisque le café est maintenant accrédité Bistro Beaujolais, le seul au Canada. Cela signifie que toute l'année, on peut y déguster des vins des 12 appellations de la région (pis essayez pas de m'en faire nommer plus que 4, j'ai déjà coulé ce test-là). Comme on essaie d'attirer le soleil comme on peut, on opte pour le rosé Laurent Gauthier en apéro. Gamay FTW! (Gamay pour la victoire, comme on dit à Villefranche-sur-Saône.)

Parce que nous sommes invités en tant que blogueurs, on dit «oui monsieur» et on regarde son verre et son assiette se remplir tout seuls: plateau d'huîtres, puis shooter d'huître façon Bloody Caesar, puis un autre petit verre de Beaujolais blanc... Et malgré tout, je parie que si j'y étais allée par moi-même, petite robe vieillotte ou pas, j'aurais eu le même accueil chaleureux, la marque du Groupe Restos Plaisirs.

Et parce qu'il faut bien éponger tout ce vin à un moment ou à un autre, on finit par tomber dans le vif de l'assiette: le menu Terre et Mer. Une grosse promo à l'ardoise qui oblige à faire des choix déchirants entre le surf'n'turf (porc et gambas), le homard Thermidor (un classique qu'on croirait botoxé tellement il n'a pas pris une ride dans nos coeurs d'amateurs), la paëlla (grosse comme deux têtes d'homme), le magret de canard avec pétoncles on the side et la poutine au homard.
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Poutine, vous avez dit? Mon hamster mental s'active soudain et court plus vite dans sa roue afin de me faire choisir ce monstre de gras et de plaisir: de la chair et une grosse pince (d'où le port obligatoire de la bavette, l'accessoire mode de la saison), de la Tomme des Demoiselles et une sauce bisque. Il n'en fallait pas plus pour faire taire une tablée de blogueurs (mine de rien, ça demande pas mal de concentration, trucider un homard sans en faire juter à la ronde, tout ça en instagrammant sa bavette).

Parce que je suis une petite futée, je n'ai pas terminé ma poutine, histoire de me laisser de la place pour un gros petit dessert. Pas folle (malgré le hamster mental qui continue de jogger pour perdre les calories de la poutine), je sais qu'il y a au menu un truc pas croyable, un truc plein de sucre et de beurre et de crème et de friture: la crème glacée frite, avec coulis de caramel au beurre salé. Ça, je l'ai fini.
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J'avais besoin d'une petite séance de séduction pour me convaincre que le Café du monde, ce n'est pas réservé qu'aux grandes occasions quand maman et papa paient (genre «on vous sort en grand les enfants»). Et je veux bien me laisser cruiser par des poutines au homard.

Envie de vous laisser séduire?

Café du monde
84, rue Dalhousie

Menu Terre et Mer jusqu'au 16 juin


Un immense merci à Sylvie de Tac Tic Marketing (encore et toujours!) et à Pierre et Martine du Groupe Restos Plaisirs pour l'invitation.
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